Les Candidates de Miss Elégance Guyane 2021

MAÏWENN PAMPHILE

Candidate N°1



Age : 19 ans Taille : 1,67 m

La ville où je vis, c’est Cayenne. Elle est presque « La capitale » de notre région et pour moi, c’est surtout, une ville exceptionnelle en devenir.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis titulaire d’un Certificat de membre d’équipage en cabine. Si vous préférez, je suis hôtesse de l’air diplômée.

L’Activité que je déteste le plus faire : Sincèrement, il n’y a aucune activité qui m’indispose réellement, car ce que je déteste par-dessus tout, c’est m’ennuyer ! Comment peut-on rester sans rien faire ? Moi je ne peux vraiment pas !

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est le respect des aînés, car ce sont eux qui nous ont tracé le chemin et je trouve, que leur manquer de respect, nous empêche de construire notre vie, en s’appuyant sur leurs riches expériences.

LEA-AUDREY TSHEFU

Candidate N°2

Age : 24 ans Taille : 1,77 m

La commune où je vis, c’est Rémire-Montjoly, dont le charme et le calme des plages me bercent depuis ma plus tendre enfance.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis actuellement titulaire d’une licence en Civilisations et Littérature Anglophone et je m’apprête à débuter un cycle d’études en sociologie. Plus tard, j’aimerais m’intéresser professionnellement aux questions de société telles : le racisme, l’ethnicité, qui sont des termes pertinents d’actualité.

La plus grande chance de ma vie : c’est, je pense, d’avoir grandi au contact d’une multitude de cultures. Cela m’a poussé et me pousse encore, à découvrir et m’ouvrir encore aux autres, sur notre territoire et même au-delà.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », ce sont nos célèbres « tchenbé tchò », faits de légumes-pays : bananes jaunes, patates douces pour accompagner le « blaff » de poissons et les fruits frais en dessert. Un bel assortiment créole, pour amorcer une belle journée !

MAËLYS BIRBA

Candidate N°3



Age : 23 ans Taille : 1,75 m

La commune où je vis, est Matoury. Je la découvre jour après jour, car j’y vis depuis peu. Mon lieu de prédilection est le « Family Plaza », pour son offre de divertissements : le cinéma Agora, de nombreux restaurants et sa galerie marchande.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis actuellement en stage de fin d’études universitaires dans le domaine de la communication humaine et organisationnelle, avec une spécialité en ressources humaines. J’ai eu le privilège, de faire ces études au Canada.

La plus grande chance de ma vie : c’est d’avoir pour parents des gens extraordinaires, qui m’aiment profondément, me soutiennent dans tous mes projets et me guident chaque jour

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est l’élégance des femmes, qui à l’époque étaient toujours coquettes et bien apprêtées, que ce soit pour aller au marché, au cinéma, au restaurant ou même à la messe. De nos jours, je trouve que cette élégance s’est perdue et j’aurais aimé vivre à cette époque-là.

CLARA LEFEVBRE

Candidate N°4



Age : 19 ans Taille : 1,67 m

La commune où je vis et que j’ai vue évoluer depuis maintenant 15 ans que j’y vis, c’est Rémire-Montjoly. Elle ne ressemble plus du tout, au petit bourg qui dit-on, a accueilli les réfugiés Martiniquais rescapés de l’éruption de la montagne Pelée en 1902, c’est presque une ville aujourd’hui.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis actuellement en 2e année de licence en sciences infirmières, à l’institut de formation de Cayenne, où j’apprends mon futur métier. La crise sanitaire actuelle nous a montré la fragilité de la vie et l’importance de cette fonction et cela me motive encore plus, pour parvenir à mon but.

Ce qui me fait rire à coup sûr, c’est le fait que les enfants prennent assez souvent, tout ce qu’on leur dit au premier degré, ce qui engendre inévitablement des situations cocasses, qu’il faut dédramatiser et démêler avec doigté pour les rassurer.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est l’ouverture aux autres, qui a pour moi, laissé place aujourd’hui au repli sur soi et à l’égoïsme

HUGUETTE ATIPA

Candidate N°5

Age : 18 ans Taille : 1,70 m

La commune où je visest la commune de Mana. Certains la disent bénie, car elle a été fondée autour de 1828, par une religieuse que les Mananais appellent affectueusement : « la mère Javouhey ».

Mon Niveau d’études actuel : Je suis en terminale BAC PRO CUISINE, dans un lycée de Saint-Laurent-du-Maroni, qui offre aux jeunes de l’ouest un choix de métiers de qualité. Pour moi, cuisiner est un art d’avenir, qui a pris beaucoup de valeur et de reconnaissance, grâce à des concours très appréciés à la télévision, tels que « TOP-CHEF ou LE MEILLEUR PATISSIER».

Le « péché mignon » qui me fait craquer est sans aucune hésitation, le fondant au chocolat. Je n’ai pas honte de dire que j’en raffole à en perdre la tête, depuis mon plus jeune âge, et que je ne me lasse jamais d’en manger, même si je sais que ce n’est pas très bon pour la ligne.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est le vivre ensemble, la solidarité et la sécurité ! Heureusement, il reste encore un peu de cette vie simple et belle, dans des petits coins préservés comme Mana.

BELINDA LOUISE

Candidate N°6

Age : 23 ans Taille : 1,68 m

La commune où je vis est Matoury. C’est la ville d’accueil de la Guyane, car on y trouve l’aéroport international Félix Eboué. Elle rassemble plusieurs îlots de vie, éclatés sur tout son territoire : Barbadine, La Mirande, Cogneau, Copaya, Concorde et tant d’autres encore.

Mon Niveau d’études actuel : Actuellement en Master Management, j’envisage finalement de me réorienter vers le commerce international qui me semble plus porteur avec la mondialisation. J’aimerais être plus tard, Directrice marketing international , tout particulièrement dans la filière de la parfumerie de luxe.

L’Activité que je déteste le plus faire est sans hésitation « faire les courses », surtout quand les magasins sont bondés. Moi je serai plutôt adepte des courses en ligne : c’est bien moins fatigant et surtout moins stressant !

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », ce sont les relations familiales autour des repas en famille, qui prônaient la communion des moeurs et des principes d’éducation. De nos jours, l’ère du digital ne favorise pas forcément cela, car ses influences néfastes, l’emportent souvent sur le bon sens.

MALICIA LAMA

Candidate N°7



Age : 19 ans Taille : 1,69 m

La grande ville où je vis depuis 13 ans maintenant se nomme Kourou. On l’appelle aussi, « le port spatial de l’Europe ». Je l’ai vue peu à peu, s’étendre et grandir, tout comme elle m’a vue moi, devenir celle que je suis aujourd’hui.

Mon Niveau d’études actuel : est celui de la licence 1 spécialité SVT, dont je suis les enseignements à l’université de Cayenne.

Dans 10 ans, je me vois bien au poste d’adjudant-chef dans un SDIS comme celui de Kourou, ou encore j’aimerais intégrer la prestigieuse compagnie des pompiers de Paris.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est peut-être l’époque de la jeunesse de mon père, dont il nous fait très souvent le récit. En la comparant avec la nôtre, je me rends compte qu’en chemin, nous avons abandonné de grandes valeurs, telles : le respect, l’amabilité et la joie de vivre avec peu de choses.

ANITE-DENISE JEAN-LOUIS

Candidate N°8



Age : 18 ans Taille : 1,69 m

La commune où je vis est devenue maintenant une grande ville nommée Cayenne. C’est là que l’on retrouve tout le charme des maisons créoles, que l’on rénove peu à peu, pour qu’elles retrouvent leur lustre d’antan. La place des palmistes en son centre est un bel espace paysager pour ceux qui ont envie de promenades.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis en ce moment une première année de BTS support à l’action managériale, pour apprendre dans mon futur métier, à gérer des équipes en entreprise et mutualiser les compétences.

Mon rendez-vous préféré à la télévision, ce sont les émissions d’information sur notre société. J’apprécie particulièrement les enquêtes de « Capitale », qui nous révèlent des vérités insoupçonnées sur les organisations et les pratiques commerciales.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est comme je l’ai déjà dit, la disparition de certaines belles constructions créoles, que nos anciens avaient conçues, pour qu’elles s’adaptent à notre climat, en respectant plus qu’aujourd’hui les normes environnementales. C’est dommage qu’il n’y en ait plus beaucoup sur le territoire.

MARIE-ADELINE MATHAR

Candidate N°9



Age : 23 ans Taille : 1,78 m

La ville où je vis actuellement, c’est Cayenne. En plus d’être mon lieu de naissance, grâce à tout ce que j’y ai déjà vécu, je la considère comme faisant partie intégrante de ma vie, avec ses larges rues, ses quartiers populaires, ses bâtiments administratifs et surtout son histoire coloniale.

Mon Niveau d’études actuel : Après deux ans d’études en gestion des entreprises, j’ai accédé au monde du travail où je m’épanouis, même si je compte bien poursuivre plus avant mes études, dans un domaine de compétences encore plus pointues.

Mon atout principal de charme c’est d’avoir un joli sourire franc, une sincérité naturelle et un petit je-ne-sais-quoi, qui me permet de rayonner et conquérir le coeur de ceux qui ne me connaissent pas.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », ce sont les fêtes communales avec leurs décorations et leur convivialité .Dommage qu’elles se perdent de plus en plus et qu’il est bien loin ce temps où l’esprit de fête n’était pas synonyme de débordements et de craintes.

JENNIFER JEAN-LOUIS

Candidate N°10



Age : 25 ans Taille : 1,68 m

La commune où je vis depuis maintenant 11 ans c’est Matoury. J’ai donc pu suivre avec attention et fierté son évolution tout au long de ces années. Les quartiers s’améliorent et la population y est diverse et multiculturelle à l’image de la Guyane tout entière.

Mon Niveau d’études actuel : Je suis titulaire d’un brevet professionnel de préparateur en pharmacie, obtenu en deux années. J’aimerais tout de même progresser encore dans le domaine de la santé et embrasser plus tard, une carrière de cadre en structure d’accueil, comme un EHPAD ou une crèche.

J’ai un Don personnel pour la coiffure et la confection de produits biologiques pour le soin, qui sont » faits maison ». C’est un peu ma modeste contribution à la sauvegarde de la planète.

Ce que je regrette de « Lagwiyann tan lontan », c’est l’éducation à l’ancienne que nous ont donnée nos parents, faite de respect mutuel, de rigueur et de principes moraux dont la jeunesse d’aujourd’hui aurait bien besoin.